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Carpe diem
28 février 2007

Introduction

butterfly, butterfly, butterfly

butter

  A  l'arrivée du printemps, plein d' idées qui se bousculent dans ma tête:
envie de canaliser cette imagination débordante et ce besoin de création...

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Commentaires
J
Le casino, univers du jeu de hasard, est un environnement où l’on a accès et où l’on est encouragé a s’abandonner à la boisson, d’autant plus qu’il fournit un approvisionnement gratuit d’une des substances dont nombreux sont dépendant : la caféine.<br /> Depuis longtemps, cette caféine ainsi que l’alcool et la nicotine sont des substances couramment consommée par les joueurs de casino, notamment les joueur de poker. Chez les personnes dépendantes, la consommation de « stimulants » est souvent nécessaire étant donnée le temps passé à jouer et la détresse ressentie par la personne qui voit ses dettes s’accumuler. Voulant les combler et gagner toujours plus d’argents, le joueur compulsif se voit donc faire appel à l’aide à la caféine, la nicotine ou encore l’alcool.<br /> <br /> Mise à part les grands tournois de poker où le joueur se doit de rester le plus sobre possible étant donné les mises jouées, il est fréquent de voir que l’alcool est considéré de façon incorrecte comme un stimulant. En effet, des effets psychologiques comme l’excès d’assurance ou encore l’inhibition atténuées ont mené les joueurs a cette fausse idée.<br /> L’alcool est en fait un dépresseur, un tranquillisent qui en réalité endort et affecte les fonctions mentales sans les améliorer. Ce qui affecte le jugement et peut tourner l’humeur du joueur à l’agressivité.<br /> De ce fait, un joueur de poker peut être amené à gaspiller ses jetons et perdre ainsi sont argent.<br /> <br /> Il était courant de voir dans les casinos, prés des tapis de jeux, des joueurs fumant une cigarette, un cigare ou encore la pipe. Mais ceci est officiellement interdit depuis la mise en application de la loi anti tabac, le 1er Janvier 2008.<br /> Chez les joueurs de poker, une bouffée rapide de nicotine a un effet assez stimulant chez le joueur puisqu’elle accroît le flux sanguin laissant ainsi la personne alerte et réveillée. Cependant cet éffet n’est que très bref puis qu’il ne dure qu’une vingtaine
J
JEUX VIDEOS<br /> <br /> Les jeux de hasards ne sont pas les seuls responsables de l’enfer du jeu. En effet, les jeux vidéos, très répandus, peuvent entraîner une réelle addiction chez certain joueur. Sur console ou sur ordinateur, chez soi ou en salle, ou encore en réseau online, ces jeux vidéos deviennent le principal centre d'intérêt voir l'unique, au détriment des autres activités relationnelles, professionnelles, scolaires,… <br /> Parmis les jeux vidéos, les jeux de rôles en ligne,où le joueur joue dans un univers persistant, sont les plus à même d'entraîner une telle dépendance.C’est le cas des jeux Guild Wars, Dofus, World of Warcraft ou Flyff. Ces jeux étant en réseau, ils permettent le regroupement de nombreux joueurs également dépandant. Mais l’univers de ces jeux continue d’évoluer même lorsque l’on n’y joue pas, ce qui incite à jouer beaucoup du fait qu’ils sont sans fin<br /> <br /> <br /> Ces personnes dépendante son souvent plus fragile que d’autre ce qui explique le nombre important d’adolescents dépendants aux jeux . En effet, durant cette période qu’est l’adolescence, une personne qui éprouve des difficultés à accéder à l’autonomie au sein de la cellule familiale va, en jouant beaucoup, en coupant en quelque sorte les liens avec le monde réel, chercher à montrer sa différence, son indépendance, son autonomie. Mais tout cela sans réellement partir, sans chercher une confrontation directe comme le feraient certains.<br /> Mais cette addiction entraîne un réel repli sur soi même souvent néfaste pour leur scolarité. <br /> Au même titre que les drogues, on peut parler de réelle addictionset on retrouve des troubles psychiques similaires avec perte d'intérêt et appauvrissement de la vie affective, relationnelle et intellectuelle. On peut même voir apparaître des troubles physiques comme un amaigrissement important chez les joueurs en excédent de poids qui passent tout leur temps devant l'écran et en oublient de manger.
A
« J’étais à un degré de la folie totale ! J’avais l’illusion de contrôler la machine, je croyais qu’on faisait une compétition toutes les deux ! » Chaque crise est suivie d’un atterrissage douloureux. « Quand je prends conscience de l’étendue des dégâts, je me méprise : je suis une tricheuse, une menteuse. » Comme l’alcoolisme ou la drogue, le jeu compulsif entraîne des dégradations majeures dans la vie professionnelle. « J’ai détourné 300 000 euros à mon employeur en trois ans. Dans ma tête, c’était juste un emprunt », confie Brigitte, 56 ans, ex-agent administratif chargé d’un distributeur de billets. Elle a aussi dilapidé les trente ans d’économies de son ménage, ce qui a entraîné la vente de la maison familiale. Jugée pour le détournement de fonds, elle a écopé de deux ans de prison avec sursis et vient de se reconvertir dans la garde enfants. Pour se protéger financièrement, elle a demandé à son de devenir son mandataire. « C’est lui qui voit mon banquier, signe mes chèques », raconte Brigitte, dont les retraits par carte bancaire sont plafonnés à 300 euros par semaine. « Le jeu est la plus contradictoire des addictions, car il est à la fois transgression et refuge », constate Marc Valleur, médecin spécialisé dans les toxicomanies. Transgression de la loi et de l’autorité paternelle pour les jeunes à la limite de la marginalité, refuge pour les retraités esseulés, dernier espoir pour les pauvres, en particulier les immigrés, le jeu est aussi un anesthésiant. « Quand j’ai su que le cancer me laissé peu d’espoir, je me suis jetée sur le casino. L’adrénaline chassait ma fatigue », se souvient Pauline. <br /> Le joueur pathologique passe toujours par trois phases.
M
Mais si le jeu peut être synonyme de divertissement et de plaisir, il peut également susciter d’importants troubles sociaux et psychologiques. Détresse morale, dégringolade financière, rupture sociale et familiale, fraude, agression, vol… : de plus en plus de Français sont victimes de dépendance au jeu. Une « épidémie » qui mobilise encore peu les pouvoirs publics. <br /> <br /> Le jeu peut très vite devenir un enfer comme nous pouvons le constater au travers de nombreux témoignages. <br /> Thomas, deux ans et demi, hurle de terreur. Depuis la banquette arrière de la voiture, il voit la route défiler à toute allure : « Maman, arrête, arrête ! ».Au volant, sa mère, incontrôlable, accélère. « J’avais décidé d’en finir …à cause du jeu » , se souvient Carole, cadre d’une grande entreprise, « Ce jour là, pour me payer ma dose de casino, je venais de voler de l’argent à mes parents. »Pour cette quadra, l’enfer du jeu est une réalité. Tout à commencé 15 ans plus tôt « le midi, au café de mon village, je jouais dix francs au poker clandestin. » Très vite, Carole augmente la fréquence la fréquence et le montant des mises . Aujourd’hui, elle rembourser 60 000 euros, mais chaque week-end elle est vampirisée par le casino en ligne. L’obsession pour le jeu devient alors un cercle vicieux. En effet, le joueur est pris dans un engrenage qui consiste à gagner toujours plus pour éponger ses dettes ; il commet alors des fraudes tels des vols, des impayés,…et ainsi, est de plus en plus absent, au sein de sa famille. Carole fait donc partie des 300 000 à 500 000 joueurs pathologiques que compte la France. Ce phénomène semble alors être une véritable épidémie : dans l’hexagone, comme dans le monde, le nombre de joueurs additifs augmentent de façon mécanique avec l’accroissement de l’offre de jeux d’argent. Cette dépendance a été reconnue pour la première fois comme une maladie psychiatrique, en 1980, par l’association américaine de psychiatrie. Au palmarès des jeux toxiques, les machines à sous jouent gagnantes. Viennent ensuite les courses, les jeux de tirages, tel le loto et l’euromillion, puis les jeux d’argent sur Internet, les cercles de jeux et les jeux clandestins, et enfin, depuis peu, le poker, dont la cote grimpe parmi les accros. <br /> Issus de tous les milieux, ces joueurs pathologiques ont un point commun : la souffrance. Le casino devient alors « la cour des miracles », comme en témoigne Pauline, ancienne chargée d’études, qui a passé jusqu’à 24 heures d’affilée à jouer au casino.
L
Youhou mon premier commetaire sur ce blog! En esperant ke je n'ai rien oublié pour une fois! Donc oui déjà j'aime beaucoup la présentation de ton blog, donc a mon avis le reste va me plaire aussi ;) Gros bizoux
Carpe diem
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